Une expression bizarre en français: ” Tel (ou telle) a trouvé la mort…” La cherchait-il vraiment?
Monthly Archives: October 2015
Living up to 256 years: The dream of would-be Presidents for Life
According to the “Time” magazine, quoted by a D R Congo daily newspaper (La Référence Plus, No. 6320, dated September 28, 2015, pages 9 to 11) a Chinese man named Li Ching-Yuen or Li Ching-Yun, apparently born in 1677 or 1736, died on May 6, 1933.
True or not, this is a dream those who, anywhere in the world and – especially in Africa – seek a” President-for-life” position would like to see becoming reality. Certainly a nightmare for their people. Fortunately Li Ching-Yuen or Yun, died a few decades ago… with his elixir of an almost eternal life.
Vivre 256 ans: Le rêve de nombreux dirigeants adeptes des présidences à vie.
Apparemment un Chinois, du nom de Li Ching-Yuen, encore connu sous celui de Li Ching-Yun, aurait vécu 256 ans! Il affirmait être né en 1736, alors que des documents d’archives – certes contestés – mentionnent une date de naissance remontant à 1677. Chose certaine, il est mort le 6 mai 1933.
Quelle aubaine pour les presidents qui souhaitent partout dans le monde rester éternellement au pouvoir. S’ils pouvaient vivre aussi longtemps, doivent-ils rêver! Hélas, Li Ching-Yuen ou Yun n’a pas laissé le secret de sa longevité.
(Source: “La Référence Plus”, quotidian paraissant à Kinshasa en RDC, numéro 6320, du 28 septembre 2015, pages 9 à 11.)
Le paradoxe des tripatouilleurs de Constitutions
Comme une épidémie, le tripatouillage des Constitutions démocratiques adoptees dans certains pays africains dans les années 90 et 2000, sous la pression du movement démocratique qui s’empara du continent à partir de la chute du Mur de Berlin, fait de plus en plus rage. Pour une raison ou une autre – généralement personnelle – des dirigeants qui se sont bien maintenus au pouvoir estiment que celles-ci ne “conviennent plus au bonheur des peuples” dont le destin leur a été confié soit par un coup du destin, soit par d’habiles manoeuvres, soit encore à l’issue des conférences nationales, prétendûment souveraines.
Que ce soit par referendum ou par une loi passée furtivement à l’Assemblée nationale grâce aux majorités automatiques dont ils y disposent, les nouvelles Constitutions sont remisées au grenier des objets désormais inutiles. Mais alors, qu’est-ce qui garantit que les nouvelles Constitutions – sur lesquelles ils prêteront solennellement serment de la respecter scrupuleusement comme sur les anciennes – seront effectivement respectées? Rien. Et c’est cela le paradoxe du tripatouilleur – rarement des tripatouilleuses jusqu’à present – de Constitutions.
Car comme on dit en français, “qui a bu, boira.” Et aussi: “brûles ce que tu as adoré, adores ce que tu as brûlé” est un autre dicton bien connu de cette langue.
The Paradox of Constitutions Changers
This has become an epidemics with acute consequences, mainly in Africa of long standing dictators wanting to change their countries Constitutions, under the pretense that it does not suit new needs. This comes when during their Inauguration, they solemnly swore to abide by the same Constitution. Now that they are very bent on changing these Constitutions, which guarantees can they provide the people they – so badly govern in many countries – that the new Constitutions they want to see adopted will be respected? None, I guess. That’s the Paradox. They will change Constitutions because they do not suit their needs anymore, for now. But there is nothing to definitely enshrine the new ones they want to see adopted.
In French, they say “qui a bu, boira”. One who drank will drink again.
Compaoraisons
Les tripatouilleurs de Constitutions d’Afrique et d’ailleurs à leurs peuples, après les evolutions enregistrées au Burkina Faso:
“Compaoraison n’est pas raison!”:
“